Oan Kim : « The Dirty Jazz » au grand jour

Le saxophoniste et chanteur Oan Kim, aux vies musicales et artistiques multiples, est passé par le jazz, la musique contemporaine, la musique classique, le rock et la musique à l’image avant de revenir vers le jazz pour proposer un nouveau genre:  « The Dirty Jazz » qui prend sa source dans le jazz mais n’hésite pas à s’en éloigner, à le salir de toutes les musiques populaires ou savantes qui peuvent le nourrir.

Et finalement… on en devient gourmand, à tel point que cet album d’abord autoproduit et publié de manière confidentielle en mars 2022, est ressorti sur le label Artwork Records/PIAS le 20 Janvier 2023. À consommer cette fois sans modération !

Visiblement Oan Kim est doué… très doué, pour beaucoup de choses… vraiment beaucoup ! Son impressionnant parcours artistique est comme un fleuve intarissable aux multiples affluents qui prennent leurs sources dans de multiples influences !

Violoniste dès 5 ans, il est aussi pianiste, guitariste, claviériste… et saxophoniste ténor et alto, il va de soi ! Bien entendu, il compose, écrit, arrange, harmonise, orchestre après en avoir étudié toutes les techniques et les secrets. Oan Kim aime étudier, comprendre, maîtriser pour mieux repousser les limites et les frontières et faire de la Musique un vaste terrain d’inspiration et de liberté !

Le jazz le passionne… autant que la musique classique, la musique indienne, et encore le rock indé et l’électro auxquels il est allé se frotter un temps et une centaine de concerts en prime ! Oan Kim aime aussi l’Art contemporain… la peinture que lui a inspirée son père, peintre coréen, la photographie et l’image plus généralement qui lui permettent de révéler ses autres talents de réalisateur…

En clair, l’artiste Oan Kim est exceptionnellement inclassable, autant que sa musique qui note et dénote ses traits de génie, dessinant proprement la salissure de ces mondes qui s’entrechoquent, s’entremêlent, s’opposent et s’attirent… Bienvenue dans le monde clair-obscur de The Dirty Jazz.

L'actu du festival

Al Di Meola : un concert à Toulon vraiment privilégié !

Lakecia Benjamin : un « Phoenix » qui lui donne des ailes !